Quelle fiscalité pour l'Assurance-Vie ?

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L’assurance-vie ne se résume pas à un simple produit d’épargne. Elle combine à la fois flexibilité, performance et avantages fiscaux… Cela en fait un outil patrimonial incontournable pour toute personne souhaitant optimiser la gestion de son argent et préparer l’avenir en toute sérénité.

Optimisez votre fiscalité avec l'assurance-vie en gestion libre conseillée de Patrimy.

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Qu’est-ce que l’assurance vie et pourquoi est-elle attractive ?

A lire : le guide de l'assurance vie.

Les différents types de contrats d'assurance vie

L’assurance vie est un contrat d’épargne à moyen ou long terme souscrit auprès d’un assureur, permettant de faire fructifier un capital tout en bénéficiant d’un cadre fiscal avantageux. Elle peut être utilisée pour se constituer un patrimoine, préparer sa retraite ou organiser la transmission de ses avoirs dans des conditions optimales.

Une assurance vie peut loger deux types de supports :

  • Le fonds en euros : à capital garanti, il offre une sécurité totale sur les sommes versées et génère des intérêts annuels. Le rendement reste modéré, mais prévisible. Il représente environ 80% des contrats.
  • Les fonds en unités de compte (UC) : plus dynamique, il permet d’investir sur des supports variés (actions, obligations, SCPI…) et favorise une logique de capitalisation sur le long terme. Le capital n’est pas garanti, mais le potentiel de gain est bien plus élevé. Ce type de contrat est particulièrement prisé pour investir sur les marchés financiers, notamment pour ses atouts en matière de fiscalité. Il permet à chaque adhérent de constituer une épargne à son rythme. De plus, c’est l’option privilégiée des profils à la recherche de produits performants, en particulier dans un objectif de diversification.

Quel que soit le type de contrat souscrit, les avantages fiscaux dépendent ensuite de la durée de détention et de la date de versement des primes.

Les avantages fiscaux initiaux de l’assurance vie

Dès sa souscription, l’assurance vie se distingue par un régime fiscal particulièrement avantageux que l’on détaille dans la suite du guide :

  • Fiscalité allégée sur les rachats (surtout après 8 ans)
  • Abattements annuels sur les gains : 4 600 € pour une personne seule, 9 200 € pour un couple
  • Exonération partielle ou totale en cas de transmission (voir plus loin)
  • Souplesse du contrat : vous pouvez effectuer des versements libres ou programmés, effectuer un rachat partiel ou total, ou encore transformer le capital en rente viagère.

Ces bénéfices font de l’assurance vie un outil idéal pour optimiser à la fois son épargne, son revenu futur, et sa transmission patrimoniale, tout en profitant d’un cadre fiscal protecteur.

Pour plus d'information sur les avantages comparés des différents contrats, vous pouvez consulter notre site.

La fiscalité de l'assurance vie lors du rachat

Lorsqu’un épargnant retire tout ou partie des sommes placées sur son assurance vie, on parle de rachat. Ce rachat peut être partiel (seule une partie du contrat est retirée) ou total (le contrat est clôturé).

Si vous vous demandez s'il s'agit d'un produit imposable, sachez que seule la part correspondant aux gains (les intérêts générés) est soumise à l’impôt, selon des modalités qui varient selon la date de souscription, la date des versements, et la durée du contrat. Enfin, un taux forfaitaire peut s’appliquer si le montant des retraits est supérieur au seuil des abattements annuels.

Exemple

Vous investissez 10k€ sur un contrat d’assurance vie qui se transforment en 15k€ dans 8 ans. Si vous effectuez un retrait de 5k€ à cette échéance. 

Dans ce rachat, 3 333€ sera considéré comme du capital initial. 

En effet, sur les 15k€, 10k€ correspondent au capital initial (⅔) et un tiers, soit 5k€ représentent les intérêts. Dans le cas d’un rachat partiel, la même proportion est appliquée au retrait, soit ⅔ des 5k€ qui sont considérés comme capital initial : 3 333€.

1 667€ seront considérés comme de la plus-value et sera fiscalisée.

Imposition des gains avant 8 ans

Si vous effectuez un rachat avant 8 ans, les gains sont imposés selon deux options :

  • Intégration au barème progressif de l’impôt sur le revenu, en fonction de votre tranche marginale d’imposition.
  • Ou prélèvement forfaitaire (PFL ou PFU) :
    • 12,8 % d’impôt + 17,2 % de prélèvements sociaux, soit un taux global de 30 %.

Cette option de prélèvement forfaitaire unique (PFU), aussi appelé flat tax, est automatiquement appliquée sauf si vous demandez expressément l’intégration au barème.

Si on revient à notre plus-value de 1 667€, elle sera fiscalisée à 30%, c’est-à-dire 500€. Vous aurez sur votre compte 4500€ net de fiscalité.

Quelle imposition pour les contrats après 8 ans ?

Dès 8 ans de détention, les gains bénéficient d’un abattement annuel (4 600 € pour un célibataire ou 9 200 € pour un couple marié ou pacsé). 

La suite un peu plus complexe :

  • Dans tous les cas, la plus-value sera intégralement fiscalisée à 17,2 % (prélèvements sociaux).
  • La plus-value sera également fiscalisée au titre de l’impôt sur le revenu avec un abattement annuel au titre de l’impôt sur le revenu de 4600 € pour un célibataire et 9200 € pour un couple marié ou pacsé. Au-delà, la fiscalité varie entre 7,5 % d’impôt pour les versements inférieurs à 150 000 €, 12,8 % au-delà, en plus des prélèvements sociaux.

Les 12,8% des impôts sur le revenu et les 17,2% des prélèvements sociaux correspondent à ce qu’on appelle la flat tax. 

Avec nos 1 667€ de gain, la fiscalité appliquée sera la suivante : 

  • Au titre des prélèvements sociaux : 17,2% x 1 667€ = 287 €
  • Au titre de l’impôt sur le revenu : 0 € car 1667 € sont inférieurs à 4600 € (à ce montant l’abattement s’applique aussi bien pour les célibataires que les couples mariés ou pacsés).

Les différences de traitement selon la date de versement

Depuis septembre 2017, la fiscalité applicable dépend aussi de la date des versements :

  • Les versements effectués avant septembre 2017 peuvent bénéficier d’un ancien régime fiscal avec un prélèvement libératoire fixe selon la durée de détention (35 %, 15 %, ou 7,5 %).
  • Pour les versements postérieurs à septembre 2017, c’est le prélèvement forfaitaire unique (PFU) qui s’applique, sauf option pour le barème.

Il est donc crucial de conserver les documents de souscription pour bien identifier le régime fiscal applicable à chaque contrat ou versement.

Autres exemples de fiscalité en cas de rachat

Voici quelques cas pratiques pour mieux comprendre :

  • Exemple 1 : Vous avez souscrit un contrat depuis plus de 8 ans. Vous effectuez un rachat de 20 000 € dont 5 000 € de gains. Si vous êtes célibataire, vous bénéficiez d’un abattement de 4 600 €, et ne serez imposé que sur 400 € au titre de l’impôt sur le revenu (à 7,5%) car le versement initial était inférieur à 150k€ et les 5000€ seront également fiscalisés à 17,2% au titre des prélèvements sociaux.
  • Exemple 2 : Vous rachetez un contrat de 50 000 € souscrit il y a 5 ans, avec 10 000 € de gains. Vous serez soumis à un prélèvement forfaitaire de 30 % sur les 10 000 € (soit 3 000 € d’impôt).

Ces exemples montrent à quel point la durée de détention et le montant des versements influent sur la fiscalité applicable. En cas de doute, un tableau récapitulatif établi par votre assureur peut vous aider à y voir plus clair.

Le paiement de la fiscalité varie entre les fonds euros et les unités de compte

Tous les intérêts générés sur les fonds en euros sont soumis chaque année aux prélèvements sociaux à hauteur de 17,2 %.

Au moment du retrait sur un fonds euro, les prélèvements sociaux ayant déjà été payés sur le gain, la totalité des gains liée au fonds euros sera donc fiscalisée à 12,8% avant 8 ans ou 7,5%/12,8% après 8 ans. 

Concernant les unités de compte, la fiscalité s’applique au moment du rachat ou du décès, et uniquement sur la part des gains réalisés. Cela signifie que si la valeur de vos unités de compte n’a pas augmenté, vous ne paierez pas de prélèvements sociaux sur cette part.

Cas d’exonération pour situations exceptionnelles

Dans certains cas de force majeure, les sommes retirées peuvent être totalement exonérées d’impôt sur le revenu (mais pas des prélèvements sociaux) :

  • Licenciement du souscripteur (non volontaire)
  • Mise à la retraite anticipée 
  • Invalidité de 2e ou 3e catégorie (du souscripteur ou de son conjoint)
  • Liquidation judiciaire pour les travailleurs non-salariés
  • Cessation d’activité non salariée, sous conditions définies par l’administration fiscale
  • Décès du conjoint ou partenaire pacsé.

Ces cas d’exonération s’appliquent à condition que le rachat ou le retrait soit effectué dans l’année suivant l’événement. Il est également nécessaire de conserver les justificatifs, qui peuvent être demandés par l’administration fiscale en cas de contrôle.

Quelle fiscalité sur l’assurance-vie en cas de succession ?

Lors du décès du souscripteur, le contrat d’assurance vie prend fin et les sommes investies sont transmises aux bénéficiaires désignés. Ce versement du capital peut bénéficier d’un traitement fiscal particulièrement avantageux, à condition de respecter certaines conditions liées à l’âge, à la date des versements et à la structure du contrat.

Primes versées avant 70 ans

C’est dans ce cas que la fiscalité assurance vie est la plus avantageuse.

  • Chaque bénéficiaire profite d’un abattement de 152 500 €.
  • Au-delà de ce seuil, les sommes transmises sont soumises à un prélèvement forfaitaire de :
    • 20 % jusqu’à 700 000 €
    • 31,25 % au-delà

Cet abattement ne s’applique qu’aux primes versées avant 70 ans et par bénéficiaire, ce qui permet une transmission optimisée du capital à plusieurs héritiers.

Exemple : Une personne ayant souscrit un contrat à 65 ans peut transmettre à deux enfants jusqu’à 305 000 € exonérés d’impôt, soit 152 500 € chacun.

Primes versées après 70 ans

Le traitement fiscal change sensiblement pour les primes versées après les 70 ans du souscripteur.

  • Un abattement global de 30 500 € s’applique, à répartir entre tous les bénéficiaires.
  • Au-delà de ce seuil, les sommes sont soumises aux droits de succession classiques, selon le lien de parenté.
  • Bonne nouvelle : les gains générés (intérêts et plus-values) restent exonérés d’impôt.

Il est donc préférable de planifier les versements importants avant l’âge de 70 ans pour bénéficier des abattements les plus intéressants.

Récapitulatif des droits de succession liés à l’assurance vie

Situation

Abattement applicable

Fiscalité au-delà de l'abattement

Primes versées avant 70 ans

152 500 euros par bénéficiaire

20% jusqu'à 700 000 euros / 31,25% au-delà

Primes versées après 70 ans

30 500 euros pour tous les bénéficiaires

Droits de succession classiques

Gains générés (intérêts/plus-values)

Exonérés

Sous conditions selon le cas

Ce tableau récapitulatif vous permet de visualiser clairement les conséquences fiscales selon la date et l’âge du versement, et d’anticiper la meilleure stratégie de transmission.

Les enjeux de l’Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI) et l’assurance vie

Depuis la réforme de l’ISF en 2018, l’Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI) a remplacé l’ancien impôt sur la fortune. Il s’applique aux personnes dont le patrimoine immobilier net taxable excède 1,3 million d’euros. Et oui, même les contrats d’assurance vie peuvent entrer dans le périmètre… mais sous certaines conditions.

Comment l’IFI affecte-t-il votre contrat d’assurance vie ?

L’assurance vie permet de diversifier son financement patrimonial tout en réduisant son exposition à l’IFI. Si votre contrat d’assurance vie contient des unités de compte investies dans des supports immobiliers (SCPI, OPCI, SCI...), la fraction représentative de ces actifs immobiliers est incluse dans l’assiette de l’IFI.

Exemple : Si 40 % de la valeur de vos unités de compte est investie en SCPI, alors ces 40 % sont pris en compte dans votre base taxable à l’IFI.

En revanche, les fonds euros ou unités de compte investies dans des actifs financiers ne sont pas soumis à l’IFI.

Exemptions à connaître pour optimiser votre fiscalité

Il existe des leviers pour réduire l’impact de l’IFI sur votre contrat :

  • Changer d’allocation pour privilégier des supports financiers plutôt qu’immobiliers.
  • Fractionner ses supports pour limiter la part immobilière taxable.
  • Utiliser un contrat logé dans un cadre d’assurance vie luxembourgeois, offrant parfois une transparence fiscale différenciée (à valider selon votre situation personnelle).

Bon à savoir : l’administration fiscale impose aux souscripteurs de déclarer la fraction immobilière au sein de leur contrat. Cette donnée, ainsi que les frais liés à ces supports, sont souvent fournis par l’assureur ou le conseiller en gestion de patrimoine.

Stratégies d'optimisation fiscale avec l'assurance vie

Comment profiter des abattements fiscaux et de la loi en vigueur ?

Après 8 ans de détention, les abattements annuels sur les gains réalisés permettent une fiscalité très avantageuse :

  • 4 600 € pour une personne seule,
  • 9 200 € pour un couple soumis à imposition commune.

En combinant cet abattement avec des retraits progressifs et un bon timing de rachat, vous pouvez optimiser vos retraits tout en réduisant considérablement l’impôt dû.

Le rôle des versements réguliers dans l’optimisation fiscale

Réaliser des versements programmés dans votre assurance vie présente plusieurs avantages :

  • Vous lissez les valeurs d’achat et limitez les risques de marché,
  • Vous bénéficiez d’une valorisation continue de votre contrat,
  • Chaque versement conserve sa propre date de référence fiscale, ce qui permet d’étaler la fiscalité applicable dans le temps.

C’est aussi un bon moyen de maximiser la durée de détention et de bénéficier pleinement des régimes d’imposition avantageux en vigueur (PFU ou abattement).

Nos astuces pour maximiser votre patrimoine avec l'assurance vie

  • Diversifiez entre fonds euros et unités de compte selon votre profil de risque,
  • Évitez les rachats précipités avant 8 ans sauf cas de force majeure (invalidité, licenciement…),
  • Tirez parti des situations d’exonération et des régimes spécifiques, notamment en cas de décès ou de succession,
  • Faites un point annuel avec un conseiller patrimonial pour adapter votre stratégie.

Dans certains cas, opter pour le prélèvement forfaitaire non libératoire peut permettre de lisser la fiscalité sur plusieurs années, notamment lorsque votre situation fiscale est amenée à évoluer.

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Avec Patrimy, un expert échange avec vous sur vos objectifs et à partir de votre profil, vous proposera les meilleures solutions pour optimiser votre fiscalité.

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L’assurance vie reste l’un des outils les plus puissants pour faire fructifier son argent tout en bénéficiant d’une fiscalité avantageuse. Bien utilisée, elle permet de concilier souplesse, transmission et optimisation patrimoniale.

Réponses aux questions fréquentes sur la fiscalité de l'assurance vie

Quelle option fiscale choisir pour le rachat d'une assurance vie ?

Lors d’un rachat partiel ou total, vous devez choisir entre deux options fiscales pour l’imposition des gains :

  • Le prélèvement forfaitaire unique (PFU), aussi appelé "flat tax", à 12,8 % + 17,2 % de prélèvements sociaux, soit 30 % au total.
  • L’imposition au barème progressif de l’impôt sur le revenu, si cela est plus avantageux selon votre tranche marginale d’imposition.

Bon à savoir : par défaut, c’est le PFU qui s’applique. Il est toutefois possible d’opter pour le barème progressif lors de la déclaration de revenus. Le montant des gains ne doit pas être confondu avec la somme totale retirée (voir sur le site officiel des impots).

Comment bien déclarer son assurance vie aux impôts ?

Vous devez déclarer les produits issus du rachat (intérêts ou plus-values) de votre contrat d’assurance vie. Le montant à déclarer dépend de la part imposable du retrait. Si vous optez pour l’imposition au barème, il faudra bien l’indiquer dans votre formulaire 2042 dans la section dédiée aux revenus de capitaux mobiliers.

En cas de flat tax, c’est l’assureur qui déclare pour votre compte. Il suffira de vérifier et de valider au moment de la déclaration.

N'oubliez pas non plus de mentionner la détention de contrats à l’étranger, le cas échéant, via le formulaire annexe 3916.

Les erreurs courantes à éviter lors de la déclaration fiscale

Les erreurs fréquentes incluent :

  • La déclaration des prélèvements sociaux déjà payés,
  • La confusion entre le montant du retrait et le montant réellement imposable,
  • L'absence de choix fiscal clair (ou le fait de laisser le PFU par défaut sans comparaison préalable)
  • L'omission de l’abattement annuel de 4 600 € ou de 9 200 € pour un couple (application après 8 ans de détention).

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