Quentin a 29 ans.
Il travaille dans un grand groupe du CAC 40, gagne bien sa vie, et vit seul dans un 40 m² parisien qu’il loue 1 300 € par mois.
À ce stade de sa vie, il a fait ce que beaucoup de jeunes actifs font : épargner sagement, remplir ses livrets, et se dire qu’un jour, il “passera du bon côté de la barrière”.
Sauf qu’en 2025, les taux montent, les prix stagnent, et la fameuse “pierre refuge” semble soudain beaucoup moins évidente.
Quentin se retrouve face à un dilemme générationnel : acheter un petit appartement pour ne plus “jeter” son loyer, ou faire travailler son argent autrement.
Quand il contacte Patrimy en septembre 2025, il ne cherche pas un produit financier. Il cherche du sens, une stratégie, une boussole.
Un profil classique de jeune cadre… mais une situation bloquée
Son profil pourrait être celui de milliers de jeunes actifs parisiens :
29 ans, ingénieur R&D, célibataire, pas d’enfant, 65 000 € de revenus bruts annuels.
Depuis cinq ans, il gravite dans le même grand groupe. Son bonus de 5 000 € est régulier - assez pour être pris en compte par la banque.
Sur le papier, tout va bien. Pourtant, une question le hante :
“Je gagne correctement ma vie, mais j’ai l’impression que mon argent dort.”
Son patrimoine se résume à des placements prudents :
- 50 000 € sur ses livrets et un vieux PEL ouvert en 2016, à 1 %
- un PEE à 10 000 €
- un PEA à 500 €
- et, plus inattendu, pour 15 000 € d’œuvres d’art accumulées au fil des ans.
Aucun bien immobilier. Aucune dette. Et un loyer mensuel de 1 300 €.
“Je me disais qu’à ce prix-là, je pourrais presque rembourser un crédit.”
Acheter à Paris : un calcul qui ne tient plus
Le réflexe d’achat semblait logique : devenir propriétaire pour “arrêter de jeter l’argent par les fenêtres”.
Mais l’audit patrimonial va rapidement casser ce mythe.
Avec 65 000 € bruts annuels, soit 50 050 € nets (environ 4 171 € par mois), Quentin peut théoriquement consacrer 35 % de ses revenus au remboursement d’un crédit, soit 1 460 € par mois.
Sur 25 ans, avec un taux de 3,6 %, sa capacité d’emprunt plafonne à 275 000 €.
En ajoutant un apport de 30 000 € de liquidités et 10 000 € issus de son plan épargne entreprise, son budget total atteint 315 000 € (soit environ 290 000 € pour le bien en lui-même et 25 000 € de frais de notaire).
Mais à Paris, où le prix moyen tourne autour de 9 750 €/m², cela ne permet d’acheter qu’un 3029 m² - tout en vidant quasiment son épargne.
Et ce n’est pas tout : entre les 8 % de frais de notaire et les 2 % de frais annexes, son budget réel descend à 286 000 €.
“Acheter sa résidence principale à Paris, c’est un peu comme acheter sa liberté… pour la revendre cinqdix ans plus tard à perte.”
D’après les études, il faudrait plus de 30 ans pour que l’achat d’un bien de ce type devienne plus rentable qu’une location (source : MeilleurTaux 2024).
Et dans le cas de Quentin, l’équation est sans appel :
- S’il revend dans 4 ou 5 ans pour acheter plus grand, il perd de l’argent.
- S’il met le bien en location, il se bloque : son crédit de 1 460 € par mois absorbe toute sa capacité d’endettement, sans réelle marge pour l’avenir.
Changer de cap : valoriser son argent sans l’immobiliser
Patrimy lui propose alors de prendre le problème à l’envers :
plutôt que d’acheter pour “sécuriser”, utiliser l’effet de levier et la diversification pour grandir.
L’objectif est simple :
- Faire travailler son argent sans y renoncer.
- Préparer sereinement un futur achat de résidence principale, mais au bon moment.
- Garder un équilibre entre rendement, sécurité et flexibilité.
Étape 1 - Utiliser son crédit intelligemment : 75 000 € de SCPI à crédit
Quentin garde donc sa liberté de locataire, mais met en place un crédit de 75 000 € sur 25 ans, destiné à financer des parts de SCPI européennes.
Ces sociétés d’investissement immobilier permettent de profiter de la pierre sans en subir les contraintes.
Les loyers sont mutualisés, la fiscalité allégée, la gestion totalement déléguée.
Le rendement moyen de ces SCPI européennes ? Autour de 6 % net.
C’est moins risqué qu’un appartement, plus rentable qu’un livret, et surtout, cela ne bloque pas son futur achat personnel.
“En clair, il utilise sa capacité d’endettement - mais pas pour s’enchaîner à 29 m², plutôt pour construire des revenus passifs.”
Cette approche joue sur le même levier psychologique qu’un achat, mais avec une flexibilité infiniment supérieure.
Étape 2 - Faire fructifier 50 000 € de cash
Sur ses 50 000 € d’épargne disponible, Quentin garde 15 000 € de côté pour la sécurité et confie 35 000 € à une assurance vie diversifiée.
C’est le cœur de sa nouvelle stratégie : valoriser sans immobiliser.
Répartition du portefeuille
Sur le papier, 80 % du contrat est “safe” ou “moyen safe”, débloquable sous 4 ans.
Les 20 % restants sont plus dynamiques, pensés pour le long terme.
Risque global : 2,3 / 7
Objectif de performance : environ 6 %/an à 5 ans. Et pour maintenir une discipline d’investissement, Quentin met en place 500 € de versement mensuel sur un portefeuille d’ETF mondiaux.
“On n’a pas cherché la performance absolue, mais la cohérence. Le but, c’est qu’il puisse redevenir acheteur dans cinq ans, sans avoir à tout casser.”
Étape 3 - Comprendre le pourquoi de cette stratégie
L’intérêt de cette allocation ne tient pas qu’aux chiffres.
Elle raconte une philosophie : celle d’un investisseur lucide, qui veut construire sans s’enchaîner.
- Parce que son projet d’achat n’est pas mûr, la liquidité prime.
- Parce qu’il prépare l’avenir, il faut quand même du rendement.
- Parce qu’il travaille beaucoup, il ne veut pas gérer au quotidien.
Patrimy l’a donc aidé à trouver le point d’équilibre : valoriser aujourd’hui, tout en préparant demain.
“Investir 50 000 € à 30 ans, ce n’est pas tout mettre sur un seul cheval. C’est apprendre à se donner du temps.”
Étape 4 - Le suivi, la clé de la réussite
L’accompagnement ne s’est pas arrêté à la signature.
- Début septembre 2025 : premier contact via une recommandation d’un ami.
- Fin septembre : audit et stratégie validés.
- Octobre : assurance vie ouverte, investissement SCPI en cours.
- Mars 2026 : premier point de performance prévu.
Depuis, Quentin suit ses placements sur la plateforme Patrimy, avec un conseiller unique joignable directement pour tout ajustement.
“J’ai enfin l’impression d’avoir une vision d’ensemble, sans y passer mes soirées.”
Ce que son cas enseigne à sa génération
Beaucoup de jeunes actifs se reconnaîtront dans ce parcours :
des revenus corrects, une épargne qui dort, et une peur de “rater le train de l’immobilier”.
Mais l’histoire de Quentin montre que le meilleur placement, c’est parfois la patience.
Les trois leçons à retenir
- ❌ Acheter sans horizon long, c’est immobiliser son avenir.
- ✅ Diversifier intelligemment : SCPI, assurance vie, ETF.
- ✅ Penser effet de levier et timing, plutôt que possession immédiate.
Le mot du conseiller Patrimy
“Notre métier, ce n’est pas de dire aux gens ce qu’ils veulent entendre.
C’est de leur montrer ce qui sert vraiment leurs objectifs.
Acheter n’était pas une erreur pour Quentin - c’était simplement trop tôt.”
- Alexis Molines., cofondateur Patrimy
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