Comment investir à la retraite : dans le portefeuille de Claude, 66 ans

Investir à la retraite
Rédigé par
Alexis Molines
Publié le
24
December
2025

🧓 Nouvel épisode de notre série : Dans le portefeuille de…

Comment investir à la retraite — la stratégie Patrimy de Claude, 66 ans

À 66 ans, Claude pensait avoir tout « sécurisé » : deux pensions confortables, aucun crédit, et 520 000 € de côté. Problème : son capital dormait — livrets à ~1 %, assurances-vie bancaires à ~2 %, et aucun véritable plan pour générer un complément de revenu ni préparer la transmission.

Avec Patrimy, il adopte une approche structurée : conserver une épargne de précaution, diversifier intelligemment, viser des revenus réguliers (objectif ~750 €/mois) et optimiser la succession. Résultat : un patrimoine lisible, suivi, et enfin utile pour les années à venir — sans spéculation.

Quand Claude a pris sa retraite à 64 ans, il pensait avoir “fait le nécessaire”. Deux pensions confortables, aucun crédit, plus d’un demi-million d’euros mis de côté - sur le papier, tout allait bien. Pourtant, deux ans plus tard, une impression persistait : son argent ne servait à rien. Les livrets rapportaient à peine 1 %, ses assurances-vie dormaient à 2 %, et son banquier ne l’appelait plus depuis des années.

“J’ai travaillé toute ma vie pour sécuriser mon avenir, pas pour que mon argent prenne la poussière”, confie-t-il, mi-amusé, mi-lassé.

Avec son épouse, ils n’avaient qu’une attente simple : compléter leurs retraites sans risquer leur capital. Mais entre la peur de “faire une erreur” et la complexité des placements, le couple avait fini par s’immobiliser. Jusqu’à ce qu’un ami, déjà client de Patrimy, leur parle d’un audit patrimonial : un moyen concret de remettre leur épargne au travail, avec méthode et sans spéculation.

C’est ainsi que Claude découvre une autre approche de la gestion à la retraite - structurée, diversifiée et orientée revenus. En quelques mois, son patrimoine a cessé de dormir pour devenir une véritable source de complément mensuel. Et surtout, un levier de sérénité pour les années à venir.

Comment bien investir à la retraite : les bonnes pratiques après 60 ans

Investir à la retraite ne signifie pas « prendre des risques », mais faire travailler son capital intelligemment. Après 60 ans, l’enjeu n’est plus la croissance à tout prix, mais la stabilité, la lisibilité et la transmission. Beaucoup de retraités conservent une épargne trop importante sur des supports faiblement rémunérés, alors que des solutions prudentes existent pour générer des revenus réguliers sans mettre en péril le capital.

Le principe clé : équilibrer

L’objectif n’est pas d’optimiser un rendement théorique, mais de construire une allocation robuste, lisible et adaptée au rythme de vie. Le bon réflexe consiste à répartir le capital en plusieurs poches, chacune ayant un rôle précis.

1) Une part sécurisée

Fonds euros et liquidités constituent le socle de sécurité. Ils permettent de faire face aux imprévus et de couvrir les besoins de court terme sans dépendre des fluctuations des marchés.

2) Une part de rendement

SCPI et solutions à capital garanti permettent de viser des revenus plus réguliers, avec une approche prudente, tout en protégeant l’essentiel du patrimoine.

3) Une ouverture long terme

Les fonds obligataires à échéance offrent un moteur de performance plus lisible et progressif, avec un niveau de risque généralement mieux maîtrisé qu’une exposition actions classique.

La clé ? Le bon dosage entre sécurité, rendement et projection long terme. C’est précisément cette logique d’équilibre que Patrimy applique pour des profils comme celui de Claude.

Dans le portefeuille de Claude : transformer 520 000 € en revenus à la retraite

Une retraite confortable mais un capital qui dort

Claude et son épouse, tous deux retraités, perçoivent environ 4 600 € nets par mois. Ils sont propriétaires de leur résidence principale et disposent de 520 000 € d’épargne cumulée. Une situation confortable, mais paradoxale : cette épargne dort sur des supports sans rendement réel - livrets pleins, PEA inactifs, assurances-vie bancaires à 2 % alors même que l’inflation dépasse les 2 %.

“On nous disait souvent : au moins, c’est sécurisé. Mais au final, on perdait du pouvoir d’achat chaque année”, explique Claude. Ce constat, fréquent chez les retraités prudents, illustre une réalité : ne rien faire, c’est déjà perdre.

L’enjeu : générer des revenus complémentaires et préparer sa succession

À 66 ans, Claude ne cherche plus à “placer pour placer”. Son objectif est double : générer environ 750 € de revenus mensuels complémentaires et préparer la transmission de son patrimoine à ses deux enfants. Deux priorités souvent négligées dans les stratégies bancaires traditionnelles, où les contrats standards ne tiennent pas compte de la fiscalité successorale ni du besoin de liquidité partielle.

En 2025, accompagné par Patrimy, Claude va donc passer d’un capital dormant à une stratégie claire, diversifiée et suivie - conçue pour durer et pour faire sens à cette étape de sa vie.

Situation de départ : un capital mal exploité

Avant l’accompagnement Patrimy, le couple présentait une situation patrimoniale courante mais inefficace : des sommes importantes immobilisées sans stratégie claire, qui ne produisaient pas suffisamment de rendement réel malgré des montants conséquents.

Des liquidités importantes mais peu productives

Avec plus de 110 000 € chacun sur des livrets (Livret A, LDD) et un PEA non investi, l’épargne était abondante mais stérile. Les PEA, ouverts en 2016, affichaient moins de 1 % de rendement annuel. Trop de prudence, pas assez de stratégie : le capital perdait de sa valeur face à l’inflation.

Assurances-vie bancaires peu rentables et mal structurées

Le cœur du patrimoine, environ 300 000 € en assurance-vie, était sur des contrats bancaires en architecture fermée, majoritairement en fonds euros. Les rendements plafonnaient à environ 2 %, sans arbitrage ni accompagnement depuis dix ans. Pire encore, les clauses bénéficiaires n’étaient pas optimisées d’un point de vue fiscal.

Manque de rendement et succession non préparée

Cette absence de stratégie avait un coût concret : plus de 12 000 € de rendement annuel perdu, soit plus de 120 000 € sur dix ans. À cela s’ajoutait une transmission potentiellement défavorable pour les enfants. Ce constat, mis en lumière par l’audit Patrimy, a conduit Claude à repenser entièrement son organisation patrimoniale.

Les stratégies d’investissement les plus rentables pour la retraite en 2026

Investir à la retraite, ce n’est pas chercher la performance à tout prix, mais trouver le juste équilibre entre sécurité, rendement et disponibilité. En 2026, le contexte joue en faveur des retraités attentifs : les taux des fonds euros remontent, les SCPI européennes offrent des rendements solides, et les produits à capital garanti permettent de valoriser sans risque excessif. Encore faut-il savoir combiner ces leviers.

La bonne stratégie repose sur trois piliers simples : une épargne de précaution solide, une partie du capital dédiée à la génération de revenus réguliers, et une enveloppe d’investissement fiscalement optimisée. C’est précisément la logique adoptée pour Claude.

Repenser son épargne après 60 ans : le plan d’action Patrimy

Audit patrimonial : revenus, épargne de précaution, besoins et horizon de vie

L’audit a permis de dresser un diagnostic précis : revenus stables, capital disponible, mais sous-exploité. Patrimy a identifié trois axes prioritaires : maintenir un matelas de sécurité (35 000 € chacun sur Livret A et LDD), restructurer les contrats d’assurance-vie, et réorienter le reste du capital vers des placements plus efficients. Chaque décision a été prise selon leur âge, leurs besoins mensuels et leur horizon de vie.

Objectifs fixés : sécuriser le capital, générer ~750 €/mois, optimiser fiscalité et transmission

Les priorités de Claude étaient claires : préserver son capital tout en créant un revenu complémentaire durable. L’objectif était d’obtenir environ 750 € nets de revenus mensuels, sans prise de risque excessive, et de préparer la transmission grâce à des contrats d’assurance-vie adaptés et à une clause bénéficiaire démembrée. Un travail de fond, souvent négligé, mais essentiel pour conserver les avantages successoraux.

Une philosophie claire : sécurité, rendement raisonnable et complément de revenu

La philosophie de gestion Patrimy repose sur la prudence éclairée : protéger sans immobiliser. Pour Claude, cela s’est traduit par une allocation équilibrée- à mi-chemin entre rendement et sérénité. Les supports sélectionnés sont lisibles, peu volatils, et suivis dans le temps par un conseiller dédié. Une manière de reprendre le contrôle de son épargne, sans stress et sans jargon.

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La nouvelle allocation de Claude : 450 000 € investis intelligemment

150 000 € en SCPI européennes (~6 % net) pour générer 9 000 €/an

Claude et son épouse ont investi 150 000 € en SCPI européennes – notamment Épargne Pierre Europe, Comète et Transitions Europe offrant un rendement net moyen > 6 %. Les loyers, versés mensuellement, génèrent environ 750 € nets par mois dès la mise en jouissance des parts. Un choix simple et efficace pour compléter leurs retraites, sans contrainte de gestion locative.

Assurance-vie ouverte : 50 % fonds euros boostés + 50 % unités de compte prudentes (~4,5 % net global)

Les anciens contrats bancaires ont été transférés vers une assurance-vie en architecture ouverte (chez Generali). La répartition : 50 % en fonds euros à 4,5 % nets (pendant deux ans) et 50 % en unités de compte prudentes. Parmi ces dernières :

  • 30 % sur des fonds obligataires à échéance (risque 2/7, rendement net cible 3 à 4 % jusqu’en 2031) ;
  • 20 % sur un produit structuré à capital garanti, rendement cible 7 %, risque 2/7, rappel possible après un an, durée maximum de 12 ans.

Cette combinaison permet de viser un rendement global autour de 4,5 % nets, sans compromettre la sécurité du capital. Une approche prudente mais performante.

Fermeture des PEA et maintien d’une épargne de précaution de 35 000 € chacun

Les PEA, inactifs depuis plusieurs années, ont été clôturés. Les liquidités dégagées ont servi à renforcer les placements productifs tout en maintenant une épargne de précaution de 35 000 € par personne. De quoi faire face à d’éventuelles dépenses sans toucher aux placements à long terme.

Démembrement des clauses bénéficiaires pour une transmission optimisée

Enfin, chaque contrat d’assurance-vie a été démembré- une étape clé pour optimiser la succession. En cas de décès, le conjoint conserve l’usufruit (le revenu), tandis que les enfants récupèrent la nue-propriété (le capital). Cette mécanique simple permet de préserver les avantages fiscaux liés aux versements avant 70 ans, un point souvent ignoré dans les gestions bancaires classiques.

Les résultats : plus de rendement, moins de frais, plus de sérénité

Un an après la mise en place de sa nouvelle stratégie, Claude a retrouvé ce qu’il cherchait avant tout : de la visibilité. Son patrimoine est désormais suivi, ajusté et réellement productif. Sans changer son niveau de risque, il a simplement réorganisé son capital pour qu’il serve un objectif clair- compléter ses revenus tout en préservant son avenir familial.

Un revenu complémentaire régulier sans prise de risque excessive

Les 150 000 € investis en SCPI européennes génèrent environ 750 € nets par mois, versés sous forme de loyers trimestriels. Cette source de revenus s’ajoute à leurs pensions de retraite, sans alourdir la fiscalité grâce au cadre européen. Claude perçoit désormais un flux de trésorerie stable, sans effort de gestion ni aléas locatifs.

Un capital actif et des frais réduits

Les anciens contrats bancaires cumulaient jusqu’à 3 % de frais annuels. Grâce à la réorganisation Patrimy, les frais globaux sont passés à 1,3 % en moyenne, tout en doublant la performance. L’assurance-vie affiche aujourd’hui un rendement net d’environ 4,5 %- soit plus du double des contrats d’origine- avec un risque maîtrisé (2/7). Le capital, autrefois statique, est désormais piloté de façon proactive.

Une succession anticipée et un suivi patrimonial proactif

Le démembrement des clauses bénéficiaires assure à la fois la protection du conjoint survivant et la transmission optimale du capital aux enfants. Un geste souvent oublié, mais déterminant sur le plan fiscal. Claude et son épouse bénéficient également d’un suivi trimestriel de leurs contrats : ajustements, arbitrages, points sur les rendements. Ce lien humain- absent de leur gestion bancaire- est devenu leur nouvelle sécurité.

Les erreurs d’investissement les plus fréquentes à la retraite (et comment les éviter)

Le parcours de Claude illustre des réflexes très courants après 60 ans. Beaucoup de retraités pensent protéger leur argent en le laissant dormir, alors qu’ils s’exposent en réalité à un appauvrissement silencieux. Voici trois erreurs classiques qu’il a su corriger.

Conserver trop de liquidités : un manque à gagner important

Garder plus de 100 000 € sur des livrets rémunérés à 1 % paraissait rassurant. En réalité, avec une inflation supérieure à 3 %, le pouvoir d’achat du capital diminuait chaque année. En réallouant l’excédent vers des placements générant 4 à 6 % nets, Claude a retrouvé un rendement cohérent, sans compromettre sa sécurité financière.

Assurance-vie bancaire “fermée” : frais élevés, flexibilité limitée

Les anciens contrats étaient cantonnés à des fonds internes, sans accès aux meilleurs supports du marché. L’architecture ouverte mise en place avec Patrimy a permis de diviser les frais par deux et de sélectionner librement des supports réellement adaptés à son profil et à son horizon.

Clause bénéficiaire non optimisée : un piège successoral classique

Comme beaucoup de couples, Claude et son épouse ignoraient l’impact fiscal d’une clause bénéficiaire non démembrée. En cas de décès après 70 ans, une partie des avantages successoraux aurait pu être perdue. La réécriture de la clause a permis de sécuriser la transmission : pas de perte d’abattement, pas de double imposition, et une succession alignée avec leurs objectifs familiaux.

Comment placer son capital à la retraite : les étapes à suivre

Investir après 60 ans demande avant tout de la clarté. L’objectif n’est pas de “faire mieux que les marchés”, mais de bâtir une stratégie lisible, adaptée à votre rythme de vie et à vos projets. Claude, comme beaucoup de retraités, a commencé par se poser les bonnes questions- celles que tout investisseur devrait aborder avant d’agir.

Les 5 questions que tout retraité devrait se poser

Ai-je une épargne de précaution suffisante ?

Conservez entre 6 et 12 mois de dépenses courantes sur des supports liquides (Livret A, LDD). C’est votre filet de sécurité, pas votre outil d’investissement.

Mon capital travaille-t-il vraiment pour moi ?

Un capital trop sédentaire sur des livrets ou des fonds euros basiques ne couvre même plus l’inflation. Faites le point sur le rendement réel de vos placements.

Quelle part sécuriser et quelle part investir pour générer du rendement ?

La bonne répartition dépend de votre tolérance au risque et de votre horizon de vie. La plupart des profils retraités performants maintiennent environ 60 % en sécurité et 40 % en rendement.

Ma succession est-elle organisée (clause bénéficiaire, démembrement) ?

Une clause mal rédigée peut coûter cher fiscalement. Le démembrement de clause bénéficiaire reste un levier puissant pour préserver les abattements successoraux après 70 ans.

Ai-je un suivi patrimonial adapté à ma retraite ?

Votre situation évolue, vos placements aussi. Un suivi annuel permet de corriger les déséquilibres et de rester aligné avec vos besoins réels.

Les placements à privilégier à la retraite

À l’heure de la retraite, certains placements se distinguent par leur capacité à générer des revenus réguliers, tout en préservant le capital et en facilitant la transmission. Trois solutions ressortent particulièrement.

Les SCPI européennes

Les SCPI permettent d’accéder à l’immobilier professionnel sans les contraintes de la gestion locative. Les SCPI européennes offrent aujourd’hui des revenus réguliers autour de 6 % nets, avec une diversification géographique et sectorielle adaptée aux profils retraités.

L’assurance-vie en architecture ouverte

Véritable pilier patrimonial, l’assurance-vie en architecture ouverte combine souplesse, fiscalité avantageuse et outils puissants de transmission. Elle permet d’accéder aux meilleurs supports du marché, tout en adaptant l’allocation au fil du temps.

Les fonds obligataires à échéance

Ces fonds offrent une visibilité appréciable : durée connue, niveau de risque maîtrisé et rendement cible clair. Ils peuvent générer un rendement net de 3 % à 4 % sur un horizon de 5 à 7 ans, ce qui en fait une brique prudente et lisible pour les retraités.

À la retraite, la clé n’est pas d’en faire plus, mais de mieux structurer. Une stratégie claire et cohérente bat toujours une accumulation de produits mal compris.

Pourquoi attendre, c’est perdre du rendement chaque mois

Un capital non investi, même “en sécurité”, s’érode. À 2 % de rendement, 500 000 € rapportent 10 000 € par an. À 5 %, c’est 25 000 €. Chaque mois d’inaction coûte donc environ 1 200 € de revenus potentiels. La différence, c’est la stratégie- pas le hasard.

FAQ : investir et faire fructifier son épargne à la retraite

Quel rendement viser pour ses placements à la retraite
Entre 4 % et 6 % nets par an selon le profil de risque. L’équilibre entre assurance-vie, SCPI et fonds obligataires permet d’obtenir une performance stable et réaliste.
Où placer son argent après 60 ans sans risque
Les fonds euros boostés, les produits structurés à capital garanti et les fonds obligataires à échéance sont les supports les plus adaptés pour sécuriser le capital tout en générant un rendement réel.
Comment obtenir un revenu complémentaire à la retraite
Les SCPI européennes sont un excellent levier : elles versent des loyers trimestriels pouvant atteindre 6 % nets. Idéal pour compléter une pension sans contrainte de gestion.
Comment réduire la fiscalité sur ses placements à la retraite
L’assurance-vie reste la meilleure enveloppe pour allier rendement et avantage fiscal, surtout après huit ans de détention. Le démembrement des clauses bénéficiaires et la diversification européenne optimisent également la fiscalité successorale.
Est-il risqué d’investir à la retraite
Pas si la stratégie est encadrée. Le but n’est pas de spéculer, mais de combiner des placements à risque maîtrisé qui garantissent rendement et stabilité. C’est la philosophie adoptée pour le portefeuille de Claude.
Quand faut-il revoir sa stratégie d’investissement après 60 ans
Idéalement, une fois par an. Ce bilan patrimonial permet d’ajuster le rendement, la fiscalité et la transmission selon l’évolution des marchés et de vos besoins personnels.
Combien investir à la retraite pour générer 1 000 € de revenus mensuels
Pour percevoir environ 1 000 € nets par mois (soit 12 000 € par an), il faut investir entre 180 000 € et 220 000 €, selon le rendement visé :
À 4,5 % net (assurance-vie équilibrée, fonds obligataires, produits garantis) → environ 220 000 € investis.
À 6 % net (SCPI européennes ou allocation mixte) → environ 200 000 € suffisent.
Ce revenu peut être perçu via des loyers trimestriels (SCPI) ou des rachats programmés sur une assurance-vie. L’idéal : combiner les deux pour équilibrer stabilité, fiscalité et liquidité.

Simulation d’impact : capital dormant vs stratégie active

Scénario Rendement annuel estimé Revenu annuel généré
Capital non optimisé
(~520 000 € à ~2 %)
2 % ≈ 10 400 € / an
Stratégie Patrimy
(~450 000 € investis)
5–6 % ≈ 22 500 – 27 000 € / an
Différence +3–4 pts +12 000 – 17 000 € / an

Sur dix ans, cela représente plus de 120 000 € de revenus supplémentaires - sans prise de risque excessive.

Conclusion : un nouveau départ patrimonial après 60 ans

À la retraite, le temps devient un allié précieux - à condition de savoir l’utiliser. L’histoire de Claude montre qu’un patrimoine, même bien constitué, peut rapporter beaucoup plus s’il est structuré et suivi. Le secret ne réside pas dans les produits miracles, mais dans la cohérence et la discipline.

Les trois leçons à retenir après 60 ans

  • Tout laisser sur des livrets ou des fonds euros basiques, c’est perdre du pouvoir d’achat chaque année.
  • Structurer son patrimoine : séparer épargne de précaution, capital de rendement et enveloppes fiscales.
  • Penser revenus et transmission, pas performance brute : SCPI, assurance-vie ouverte, démembrement.

Le mot du conseiller Patrimy

À la retraite, notre rôle n’est pas de faire “plus de rendement”.
C’est de transformer un capital figé en source de revenus sereine, tout en protégeant le conjoint et les enfants.
Ne rien changer était le vrai risque pour Claude.

Alexis Molines, cofondateur de Patrimy

Et vous, comment votre capital travaille-t-il aujourd’hui ?

Votre épargne génère-t-elle vraiment des revenus ?
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